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vendredi 23 juillet 2010

Plus d'informations sur visa usa


Il existe de nombreux types de visas d'immigrant et de non-immigrant pour entrer aux États-Unis. Il est important que vous demande le type de visa en fonction de leur intention de Voyage aux États-Unis. Les visiteurs de monter en tant que touristes ou hommes d'affaires qui veulent entrer temporairement aux États-Unis et y séjourner pour une courte durée doivent demander un visa de non immigrant. Les gens qui veulent vivre aux États-Unis et qui sont admissibles pour l'une des visas disponibles doivent présenter leur demande pour un visa d'immigrant soit un visa de travail ou une demande de résidence permanente par des parents proches qui sont citoyens des États-Unis.

Immigration aux Etats-Unis,les démarches


U. S. La citoyenneté est la prochaine étape après l'obtention de résidence permanente ou la carte verte qui peut être obtenue par le mariage et par la Loterie Green Card, d'investissement, d'emploi ou d'immigrant spécial. Le U. S. citoyenneté donne des droits maximal disponible aux États-Unis. Les citoyens des États-Unis peuvent trouver avantageux d'utiliser le passeport américain lors de voyages. La plupart des citoyens obtiennent leur citoyenneté par la naissance, mais né dans d'autres pays pourraient également devenir des citoyens par le biais de la naturalisation ». Télécharger la direction de U. S. demande de la citoyenneté Guide d'étude et de test de citoyenneté. Si vous n'êtes pas admissible à la carte verte ou de la citoyenneté, peut demander un visa qui vous donne droit à une demande d'entrée aux États-Unis. Sur ce site vous pouvez trouver des informations sur la façon de demander différents types de visas, formulaires d'immigration et les exigences.

vendredi 16 juillet 2010

le mariage en france:la cérémonie civile


La cérémonie du mariage a lieu à la mairie et est menée par le maire (ou leurs adjoints), en présence d'au moins deux et au plus quatre témoins adultes. Un traducteur peut y assister.
Le couple se marier choisir leurs témoins à l'avance. Les témoins peuvent être de toute nationalité, mais ils doivent:

être présent le jour
ont une preuve d'identité
avoir une connaissance suffisante du français tels qu'ils sont capables de comprendre la procédure de langue française sans l'aide d'un traducteur. Si les fonctionnaires ont le sentiment de témoins français est insuffisant, ce témoignage ne sera pas autorisé à effectuer le devoir et le maire peut refuser de célébrer le mariage
Selon la facilite disponible dans l'hôtel de ville notamment, une fête de mariage complet peut assister à l'événement qui dure normalement moins d'une demi-heure et se termine par des applaudissements des invités. A ce point de photographies peuvent être prises et des confettis ou des pétales de roses jetées sur les mariés devant la mairie.

Le certificat de mariage délivré après cette cérémonie est requis pour tout service postérieur religieux. Le service religieux ne doivent pas avoir lieu le jour même.

Le livret de famille est un document officiel délivré après la cérémonie. Il s'agit d'un acte de mariage et inclura des événements ultérieurs, y compris les naissances, décès, divorce ou changement de nom. Il est possible d'obtenir un certificat de mariage (extrait d'acte de mariage) en écrivant à la mairie où le mariage a eu lieu (indiquer la date et le lieu du mariage et les noms complets (y compris le nom de jeune fille) des deux parties).

Le processus de mariage français pour les étrangers


Le processus de mariage français peut sembler complexe et déroutant pour les étrangers. Ici, nous expliquons tout ce que vous devez savoir au sujet d'avoir votre mariage en France.
D'épouser un étranger en France
La France a des lois spécifiques en matière de mariage. Ceux-ci doivent être suivies par les deux citoyens français et les ressortissants étrangers. Un mariage en France est reconnue comme valable dans la plupart des autres pays.
le droit français ne reconnaît que le mariage civil. Cela doit être effectué par un français autorité civile (officier de l'état civil), qui comprend le maire (maire), leur remplacement légalement autorisé - l'adjoint au maire (adjoint) - ou un conseiller municipal (conseiller municipal).

Les cérémonies religieuses sont facultatives, n'ont aucun statut juridique et ne peut être organisée après la cérémonie civile a eu lieu (ce qui peut, mais il n'est pas nécessaire, le même jour.)

Comment se marier en France
L'un des couple se marie doit avoir été domicilié dans une commune en France pour un minimum de 40 jours consécutifs avant le mariage civil. Le mariage civil doit avoir lieu dans cette commune. Si les deux parties ont résidé pendant plus de 30 jours dans différentes communes (40 jours de moins période de 10 jours pour la publication des bans), la demande pour le mariage civil peut être faite à la mairie (Town Hall) soit de la commune.
La mairie doit fournir une brochure explicative (en français) sur les documents et attestations à fournir. Seuls les documents originaux ou photocopies certifiées seront acceptés. Les documents non en français doivent être traduits par un traducteur assermenté (traducteur assermenté). (Les noms des traducteurs assermentés sont disponibles auprès de la mairie ou à la station de police locale).

La loi française exige la publication des bans à la mairie de la commune de résidence 10 jours avant le mariage civil. Certains documents doivent être reçus et approuvés par la mairie avant de bans peut être affiché. Une mairie peut exiger un mariage dossier complet 10 jours ou plus avant la publication des bans. Confirmer ces exigences.

Une cérémonie religieuse ne peut être effectuée après la cérémonie civile. Le ministre, prêtre ou un rabbin, il faudra le certificat de mariage civil (certificat de célébration civile) comme preuve que la cérémonie civile a eu lieu.

Documents requis par les deux parties
Ces documents seront probablement nécessaires (ne font que confirmer la liste complète avec la mairie):

Passeport ou carte de séjour
Acte de Naissance Intégral: certificat de naissance Unabridged moins de 3 mois fournie par un bureau des documents, pas un hôpital
Justificatifs de domicile: Preuve de l'adresse communiquée par le résident de la commune. Idéalement fournir deux documents prouvant la résidence dans la commune, par exemple compte d'une facture EDF de téléphone, quittance de loyer ou des documents d'assurance habitation
Note: Jusqu'en 2007 Décembre un certificat médical récent (certificat médical prénuptial) indiquant que l'individu a été examiné par un médecin en vue de mariage a été nécessaire. Ce n'est plus le cas (voir les amendements n ° Loi de 2007 à 1787, 20 décembre 2007 article 8).

des partenaires étrangers peuvent s'attendre à présenter les documents suivants
Certificat de coutume: un affidavit de la loi qui devrait être préparé par un professionnel du droit autorisés à exercer en France et à l'échelle nationale de son pays. Toutefois, une «Attestation» en lieu et place d'un "certificat de coutume» délivrés par l'ambassade de France peut être acceptable.
Le certificat de coutume et de l'affidavit de déclarations statut matrimonial lois concernent le mariage dans le pays d'accueil de l'étranger et sont tenus d'attester que le parti peut, en vertu de la loi de leur pays, se marier.
Ces deux documents peuvent être obtenus auprès de la National ambassade en France. Les documents doivent être en français.
Certificat de Célibat: Un certificat de statut unique (ou lieu locataire attestation de déclaration en vue de UO mariage de non-remariage) moins de 3 mois.
Les documents juridiques en français ne doivent généralement être traduits par un traducteur assermenté et a un sceau officiel, le certificat d'Apostille de La Haye.

Prénuptiale accords
Un prénuptiale (ou pré-matrimonial) contrat (le contrat de mariage) stipule les conditions du mariage (régime matrimonial). Si tel est le souhait qu'il doit être établi par un notaire avant le mariage; si un produit de mariage sans contrat de mariage le couple est automatiquement mariés en communauté de biens (communauté de biens aux acquêts Réduite). Cela signifie que les points que chaque partie possède personnellement avant le mariage et tout ce qui vient à eux par la suite par héritage reste de leurs biens. Ce qui est acquis pendant le mariage est détenue à parts égales par les deux parties.
Les deux plus courantes régimes matrimoniaux sont: être marié à la communauté de biens (property de séparation) et une combinaison de séparation et de la copropriété (acquêts aux participation). Un notaire conseillera.

S'il ya un contrat de mariage, le notaire fournit un notaire du Certificat ou attestation du notaire qui confirme son existence. Ce certificat doit avoir été établi plus de deux mois avant le mariage et est soumis à la mairie avec les autres documents.

mercredi 14 juillet 2010

visa Schengen:visa court séjour


Les visas de court séjour sont communs à tous les États parties à la convention de Schengen.
On les appelle les "visas Schengen". Il en existe 3 types : le visa de court séjour, le visa de transit non aéroportuaire et le visa de transit aéroportuaire.
A la différence des visas dit de "long séjour" (délivrés pour un séjour supérieur à 3 mois), ces visas ne permettent pas, en principe, la délivrance d'un titre de séjour en France.
Ils peuvent être délivrés soit par les autorités consulaires de la France, soit par les autorités consulaires d'un des autres États Schengen et sont valables pour l'ensemble de l'Espace Schengen, donc la France.
Ils concernent tous les étrangers non communautaires et assimilés, sauf :
ceux dispensés de visa en raison de leur nationalité.

visa Schengen:les pratiques des consulats de france


Désormais, les refus des pays de l’espace Schengen de délivrer un visa de court séjour seront motivés à partir du 5 mars 2011, a annoncé vendredi le ministère de l’Immigration. Le ministère répondait à une enquête de la Cimade sur les « pratiques consulaires en matière de délivrance de visa » menée dans six pays (Algérie, Mali, Maroc, Sénégal, Turquie, Ukraine).

L’Algérie détient les plus forts taux de refus en 2009 (Annaba avec 47,82% et Alger 43,98%), suivie de la Guinée et Kinshasa (RDC). Toujours en 2009, les Russes ont été la première nationalité pour le nombre des visas de court séjour délivrés (253 112), suivis des Chinois (170 188), des Marocains (151 509) et des Algériens (130 013). « Entre l’impossibilité d’accéder au consulat, le flou complet des documents à produire dont la liste inexistante ne cesse de changer selon l’interlocuteur, l’argent qu’il faut verser et qui n’est pas remboursé, même si la demande est refusée, le soupçon de corruption, les délais d’instruction extrêmement variables, les refus oraux sans explication ni motivation, les informations erronées sur les voies de recours quand le demandeur a la chance d’obtenir une information, on ne sait plus à la fin ce qui apparaît comme le plus choquant », estime la Cimade. Un consulat pourra ainsi en toute discrétion réclamer la présentation d’un billet d’avion, que le demandeur devra acheter et annuler à ses frais en cas de refus. Une règle est cependant commune à tous les pays : aucun consulat n’est tenu de motiver ses décisions. Selon le ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, le code d’entrée et de séjour des étrangers et du droit d’asile (Ceseda) liste, déjà, la catégorie des demandeurs pour lesquels un refus doit être motivé : les membres de famille de Français, de personnes venant dans le cadre du regroupement familial et des enfants adoptés. Le Ceseda définit aussi, selon le ministère, la liste des documents à fournir à l’appui d’une demande de visa. C’est, souligne-t-il, une liste « publique et uniforme » qui « découle du code frontière Schengen ».

dimanche 11 juillet 2010

La perte de la double nationalité française


Pour l’étranger en France, elle peut résulter d’un changement de situation personnelle qui peut entraîner une modification de sa nationalité au regard de sa loi nationale, de la loi française ou d’accords internationaux.

Pour le Français ayant acquis une autre nationalité, la nationalité française se perd par manifestation de volonté (déclaration auprès du consulat français du pays de résidence).

Le régime de la double nationalité française


En vertu du principe de souveraineté, la France considère le double national en tant que ressortissant titulaire de l’ensemble des droits et obligations attaché à la nationalité française, qu’il s’agisse d’un Français ayant acquis une nationalité étrangère ou d’un étranger devenu français.

Un Français binational ne peut cependant faire prévaloir sa nationalité française auprès des autorités de l’autre Etat dont il possède aussi la nationalité lorsqu’il réside sur son territoire ; ce binational est alors généralement considéré par cet Etat comme son ressortissant exclusif et il s’en suit que la protection diplomatique de la France ne peut s’exercer contre l’autre Etat dont dépend le binational et réciproquement pour l’Etat étranger qui ne peut faire bénéficier de sa protection le binational sur le territoire français.

L’acquisition de la double nationalité française


Un enfant né dans un pays étranger qui applique le droit du sol se voit reconnaître la nationalité dudit pays et acquiert la plupart du temps celle de ses parents lorsque l’Etat dont ils sont les ressortissants attribue la nationalité par filiation.

La double nationalité peut s’acquérir également par la naturalisation, par la déclaration (mariage, mineur), par cession d’un territoire ou accès à l’indépendance d’un Etat (cas de l’Algérie en 1962).

La loi française n’exige pas qu’un étranger devenu français renonce à sa nationalité d’origine ou qu’un Français ayant acquis une nationalité étrangère renonce à la nationalité française ceci sous réserve des traités internationaux et notamment, dans le cadre du Conseil de l’Europe, des Conventions du 6 mai 1963 sur la réduction des cas de pluralité de nationalités et du 6 novembre 1997 sur la nationalité.

La Convention sur la réduction des cas de pluralité de nationalités et sur les obligations militaires en cas de pluralité de nationalités, du 6 mai 1963 est composée de deux chapitres principaux : le chapitre I est relatif à la réduction des cas de pluralité de nationalités et le chapitre II aux obligations militaires en cas de pluralité de nationalités. Le chapitre I vise à réduire autant que possible, dans les relations entre les parties, les cas de pluralité de nationalités. Entrée en vigueur en 1968, la Convention a été ratifiée par les douze Etats membres suivants : l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la France, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, l’Espagne, la Suède, le Royaume-Uni. L’Allemagne était partie à la Convention mais l’a dénoncée le 21décembre 2001 (avec effet au 22 décembre 2002). La Suède a également dénoncé la Convention mais l’a ratifiée à nouveau en n’acceptant que le Chapitre II de la Convention relatif aux obligations militaires en cas de pluralité de nationalités. Plus récemment, avec prise d’effet au 28 avril 2008, la Belgique a dénoncé le chapitre I, ce qui permet aux citoyens belges qui acquièrent la nationalité d’un Etat signataire de la convention de 1963 de conserver leur nationalité belge.

Ces dénonciations de la convention de 1963 illustrent les changements intervenus dans les législations de plusieurs Etats européens en matière de pluralité de nationalités. De même, la Convention européenne sur la nationalité du 6 novembre 1997, entrée en vigueur le 1er mars 2000, prend acte de cette variété des situations en matière de pluralité de nationalités comme l’atteste la rédaction de son article 16 sur la conservation de la nationalité précédente : “Un Etat partie ne doit pas faire de la renonciation ou de la perte d’une autre nationalité une condition pour l’acquisition ou le maintien de sa nationalité lorsque cette renonciation ou cette perte n’est pas possible ou ne peut être raisonnablement exigée”.

dédouanement des voitures -85%


Dans le cadre de l’amélioration continue des prestations consenties au profit des Marocains Résidant à l’Etranger, particulièrement les retraités, l’Administration des Douanes et Impôts Indirects, de concert avec le Ministère de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies ainsi que celui de la Communauté Marocaine Résidant à l’Etranger, ont décidé de faire bénéficier cette catégorie de nos concitoyens d’un régime de faveur consistant en l’octroi, à l’occasion du dédouanement de leurs véhicules, d’un abattement de 85% applicable sur la valeur à l’état neuf desdits véhicules.
Cet abattement, réservé uniquement aux véhicules de tourisme, est subordonné au respect des conditions suivantes:
- limitation de cet avantage à un seul véhicule ;
- incessibilité du véhicule pendant une période de cinq (05) années ;
- limite d’âge du retraité à 60 ans et plus ;
- taxation sur la base d’une valeur estimée à l’état neuf, selon la marque, le modèle et les spécifications du véhicule considéré et ce, jusqu’à hauteur maximale de 300.000 dirhams. La tranche supérieure sera soumise au paiement des droits et taxes exigibles dans le cadre du droit commun ;
- séjour effectif à l’étranger d’au moins quinze (15) années. Cette condition est applicable également aux personnes ayant travaillé à l’étranger dans le cadre d’une mission ou d’un détachement et ce, quel que soit leur organisme d’appartenance (public, semi-public, privé ou autres);
- perception d’une pension de retraite du pays d’accueil allouée par un organisme de retraite. Ladite pension peut être versée également par un organisme national ou international au profit de personnes détachées auprès soit d’institutions internationales, soit de départements ou d’établissements nationaux établis à l’étranger;
- - non cumul du bénéfice de l’abattement de 85% avec le régime du vieillissement prévu par la réglementation des douanes dans le cadre du retour définitif.

Les dossiers en l’objet sont à déposer auprès des services de la Circonscription douanière du ressort de l’intéressé, appuyés des documents ci-après désignés :

1- demande établie sur le «formulaire-type » fourni par le service, disponible également sur Internet à la rubrique MRE / Formulaires ;
2- justificatifs de la pension de retraite allouée;

les pays sans visas pour les marocains


Asie : turquie,syrie,indonésie,malaisie,hong kong,corée du sud

Amérique du sud : brésil,bolivie

Afrique : algérie,tunisie,libye,sénégal,mali,niger,

cote d’ivoire,guinée conakry

le regroupement familial,mariage en belgique


Le visa de regroupement familial n’est pas nécessaire pour rejoindre son conjoint en Belgique. Une disposition européenne a été imposée à la Belgique et le conjoint étranger peut se présenter à la frontière avec son passeport, les documents relatifs au mariage et ceux nécessaire pour la demande de visa de regroupement familial (acte de mariage, acte de naissance etc…)
« On doit lui donner l’accès au territoire et ensuite il se rend dans la commune de l’époux endéans les 8 jours où il fera une demande de d’établissement. »

On nous cache soigneusement cet article et on nous fait croire que le visa de regroupement familial est obligatoire mais le droit d’accès est un droit absolu et acquis pour les époux étrangers de ressortissants belges ou étrangers établis en Belgique.

Par contre, il y a un risque réel d’être refoulé à l’aéroport de Bruxelles par un policier ne connaissant pas cette dispostion…

Il est conseillé de contacter l’office des étrangers qui contrôle l’accès au territoire avant pour éviter les problèmes le jour de l’arrivée. On peut s’adresser au Mediateur Fédéral au cas où l’Office des Etrangers vous laisse sans réponse ou réponds que non, cette disposition n’est pas appliqué ou si malgré tout, le conjoint est bloqué à la frontière.

Et enfin, il est conseillé de contacter au préalable un avocat (on peut payer un simple consulation pour demander conseil, on n’est pas obligé d’engager l’avocat et de payer une avance de 500 euros) et cet avocat peut engager une procédure en référé (donc en urgence) pour obliger l’office des étrangers à laisser entrer le conjoint sur le territoire belge.

Apparement ça n’a pas encore été souvent testé mais il est important de savoir qu’en cas de mariage, ceci un droit absolu!

italie:les marocains en hausse de 10%


le nombre des imigrés marocains en italie a connu une hausse de 10% en 2008 et 2009.globalement,les chiffres publiés par l’institut italien de la statistique font état d’une hausse de l’émigration de 13,4% en 2009 par rapport à 2008.environ 3,89 millions d’immigrés résidaient en italie au 1ér janvier 2009.

italie:l'eglise contre l'enseignement de l'islam à l'école


l’enseignement de l’islam dans les écoles suscite un vif débat en italie.la proposition du vice-ministre au développement économique d’introduire dans les écoles publiques et privées une heure de religion musulmane,facultative et alternative à l’heure de religion catholique,pour éviter de laisser les élèves musulmans “dans les ghettos des écoles islamiques intégriste” a été mal accueillie par l’eglise qui a opposé son refus.

vendredi 9 juillet 2010

le divorce à l'amiable en france


Avant de choisir un avocat commun, il faut vous mettre d’accord sur la façon dont l’après divorce va se passer, c’est tout. Toutes les revendications seront approuvées le jour où vous passerez devant le juge, sans possibilité de revenir en arrière.demande auprès des “greffes” les renseignements qu’il te faut. En général c’est gratuit et il donne les bons renseignements.

la loi de nationalité néerlandaise


la loi de nationalité néerlandaise telle qu’elle vient d’étre modifiée prévoit que dans davantage de cas ou un étranger voudrait obtenir la nationalité néerlandaiseil est obligé de rendre sa nationalité d’origine.toujours est-il que certains étrangers,tels que les marocains,ne peuvent pas renoncer à leur nationalité.aux pays-bas,il est jugé qu’on ne peut pas reprocher à ces étrangers le fait qu’ils viennent d’un pays qui ne permet pas de renoncer à la nationalité d’origine.
cela vaut pour le maroc,mais également pour certains dans le monde.le fait qu’un marocain reste toujours marocain,n’empéche donc pas qu’il puisse devenir néerlandais,s’il remplit,bien entendu,les exigences comme tout autre étranger.

salariés sans papiers en france


Patronat et syndicats ont signé un “texte commun” pour éclaircir la situation des salariés sans papiers
Le texte en question doit définir les critères d’obtention d’un titre de séjour.
Deux organisations patronales, la CGPME et Ethic, le Syndicat national des activités du déchet, l’entreprise Veolia Propreté ainsi que les syndicats CGT, CFDT, Unsa, FSU et Sud ont fait savoir que leurs représentants s’étaient rencontrés mercredi 3 mars.
C’est ce qu’ils ont annoncé dans un communiqué diffusé lundi
“Lors de cette rencontre, ils sont arrivés à une approche commune, concrétisée par un texte commun” qui “n’a pas vocation à prendre position sur la question de la régulation des flux migratoires en France”, mais “se veut pragmatique, constructif et positif”, ont-ils précisé.
“Il s’agissait d’établir les conditions précises et objectives d’obtention d’autorisation de travail et de séjour correspondant, pour les salariés étrangers ’sans papiers’ mais qui s’acquittent, de même que leurs employeurs, de leurs cotisations et impôts”, ont-ils ajouté.
Le texte a été soumis lundi au ministre du Travail Xavier Darcos, avec lequel les parties signataires jugent un rendez-vous “souhaitable et urgent”.
Les interventions gouvernementales au sujet de la grève de plusieurs milliers de salariés sans-papiers sont rares. La plupart des ministres, y compris celui du Travail, renvoient la balle sur le collègue à l’Immigration Eric Besson.
Entre 200.000 et 400.000 travailleurs en situation irrégulière
Depuis mi-octobre, environ 6.000 sans-papiers de plus de 2.100 entreprises se sont mis en grève pour exiger des critères clairs de régularisation par le travail, avec le soutien de onze syndicats ou associations.
On estime officiellement entre 200.000 et 400.000 le nombre des travailleurs en situation irrégulière en France.
Une nouvelle circulaire diffusée fin novembre aux préfets et précisant les critères à prendre en compte pour l’admission exceptionnelle au séjour des salariés étrangers n’a pas mis fin au conflit.
Après une brèche ouverte début 2008 par les neuf cuisiniers du restaurant La Grande Armée à Paris, au moins 2.800 salariés sans papiers ont été régularisés lors du premier mouvement coordonné notamment par la CGT et Droits Devants!
Mais de nombreux dossiers butent au niveau des préfectures.
Parmi eux, des intérimaires, mais aussi des travailleurs du secteur de la propreté (une trentaine avaient occupé en avril 2009 un site de la société de traitement de déchets Taïs, filiale de Veolia Propreté, à Villeneuve-le-Roi dans le Val-de-Marne), de la restauration, du gardiennage, du BTP et des aides à domicile

l'histoire des immigrés en france


Napoléon, avant de lancer son attaque contre l’Égypte, s’est adressé à ses troupes en ces termes: «Soldats, vous êtes engagé dans une conquête dont les conséquences seront incalculables.” 1 Les événements qui ont suivi prouvé hors de tout doute combien vrai son évaluation de l’importance historique de cette invasion était. Brève occupation de Napoléon de la Syrie et l’Egypte en 1799 a inspiré les intérêts occidentaux dans la région et dans un chemin pavé la voie à de nouvelles incursions français en Afrique du Nord. En 1830, les troupes françaises ont débarqué en Algérie.
Depuis les premiers jours de sa conquête, les Français ont montré un vif intérêt dans l’histoire de la région, la langue, la littérature et culture.2 Cet intérêt historique de la France (et en Europe) en Afrique du Nord, encore fortement encore en vie aujourd’hui, aidera à analyser les racines et cause de conflits culturels présents dans de nombreux pays européens entre les immigrants nord-africains et la population locale. Le riche patrimoine des beaux-arts européenne, qui était clairement influencé par le Maghreb (Arnason, 1988), indique la réaction de l’Occident quand il est entré en contact direct avec la région nord-africaine. Les Français ont présenté leur langue et les mœurs sociales et mis en œuvre une politique systématique d’intégration culturelle des populations locales avec la France. Ce processus a été le thème d’un tableau, «Conquête et Civilisation”, de montrer aux Français en passant par les Arabes les traditions locales de l’Ouest Civilization.3 L’idée de la communauté française et l’Union française et des mesures telles que la déclaration de tous les Algériens comme Français en 1864 mis au point une élite d’Algériens qui ont vécu côte à côte avec les Français et ressortissants d’autres pays européens, dans les quartiers nouvellement construits à Alger, Oran, Tanger, Rabat, Casablanca et des dizaines d’autres villes de la région. L’ampleur de l’impact culturel français peut être mesuré et évalué en tenant compte du fait que, à un moment près des deux tiers de la population d’Alger était européenne, essentiellement française. De même, les autres villes côtières de l’Algérie, la Tunisie et le Maroc a acquis un regard français. Ce mélange d’ancien et le nouveau, l’Orient et l’Occident, la vision romantique de ces villes, a inspiré de nombreux poètes et artistes. Un siècle de communication inter-culturelle et l’interaction entre les personnes vivant des deux côtés de la Méditerranée ont fourni un cadre idéal pour chefs-d’oeuvre littéraires comme La Peste d’Albert Camus, le Nobel français qui est né et a grandi en Algérie.
Première Guerre mondiale annonçait une ère de changement dans la direction de la migration entre l’Europe et l’Afrique du Nord. Algérie, Maroc et Tunisie a envoyé des soldats pour combattre aux côtés des Français. L’Algérie a transmis 173.000 hommes, dont la bravoure et la galanterie mai être évaluée par le fait que 25.000 ont perdu la vie. Tunisie contribué 56.000 soldats, 12.000 d’entre eux ne revinrent jamais chez eux. Troupes marocaines ont participé à la défense de Paris. Non seulement l’aide du Maghreb France avec des troupes, mais est également fourni des secours et du personnel pour remplacer les travailleurs français qui servaient dans l’armée. A propos de 119000 jeunesse algérienne se rend en France à prendre des emplois dans des usines en 1919. De même, les travailleurs marocains arrivent à Bordeaux dès 1916 (Laroui, 1970). Dans les premières décennies du XXe siècle, ces colons d’Afrique du Nord a lancé le processus d’interaction culturelle sur le continent français. Combien d’un changement de la teinte générale et de la composition ethnique de villes françaises ont fait l’objet peut être mieux jugée par la recherche à Paris. Selon les statistiques des années 1980, environ 25% de la population totale de Paris intra-muros, et 14% de la superficie métropolitaine, étaient des étrangers, dont la majorité venaient d’Algérie (Colliers Encyclopedia, 1987).
Aujourd’hui, il ya environ trois millions de musulmans vivant en France, la plupart d’entre eux venant du Maghreb. Il ya 1.500 mosquées et lieux de culte réguliers informel, où la congrégation des prières sont organisées. Musulmans sont devenus la deuxième plus grande communauté religieuse, après les catholiques romains. Les musulmans d’Afrique du Nord a vécu une vie paisible, complètement en harmonie avec la population locale française depuis un certain temps. Cependant, ils ne pouvaient pas rester à l’abri de l’évolution politique et sociale dans et hors de France, en particulier dans le monde musulman. La prise de conscience religieuse croissante, la quête de conserver leur identité, les disparités socio-économiques, la politique du gouvernement français concernant le monde musulman, des vagues d’activités subversives, et, last but not least, la guerre du Golfe et ses conséquences - tous ces facteurs divers et multivariée, rejoints par la montée du néo-nazisme en Allemagne, ont posé de sérieux défis à la paix et la stabilité de la région méditerranéenne. Villes françaises, en particulier les ports où il ya une population immigrée importante, se tournent progressivement vers les zones de crise dans la scène contemporaine européenne, contestant la paix et l’harmonie de la région, comme les derniers incidents de violence à Nice et dans d’autres villes dans la France méridionale indiquer. Des politiques appropriées de dialogue et de renforcement de la confiance devrait être mis en œuvre avant que la situation s’aggrave.
Le premier incident qui se répercute envoyées à travers la vie nationale française s’est produit le 22 Octobre 1989, lorsque des milliers de musulmans ont organisé une manifestation à Paris à l’appui des filles musulmanes qui ont été expulsés de leur école, Gabriel-Havez Secondary School à Criel, pour avoir porté la tête foulard. Français ministre de l’Education François Bayrou avait mis en place une réglementation interdisant le port du «insignes religieux ostentatoires» dans les écoles françaises. Les manifestants protestaient contre la décision du ministère français de l’Éducation. L’incident a suscité de réaction dans d’autres villes en France et les pays voisins. Au cours des sept dernières années, la question est devenue un sujet de débat national. Madame Mitterrand, la Première Dame de France, a exprimé sa forte désapprobation de l’action du ministère en disant “Si aujourd’hui, après deux cents ans de la révolution de l’école laïque ne peut pas accueillir toutes les religions en France, cela signifie qu’il a été un revers” (Frontier Post, 8 Décembre 1989, Peshawar). D’autre part, ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, parlant au Parlement en Novembre 1993, a commenté: “Nous devons également être très vigilant et veiller à ce que le port du foulard islamique n’est pas utilisée de manière délibérée et organisée de contester les principes de la laïcité qui régissent nos écoles “(Les Nouvelles du 24 Novembre 1993, Karachi). Fait intéressant, la politique d’interdiction de “insignes religieux ostentatoires» dans les écoles a été partagé par le ministère égyptien de l’Education, qui a interdit le port du hijab dans les écoles.
La controverse du port du foulard enflammé de nombreuses manifestations violentes, grèves de la faim et de procès. En France, la question semble être réglée, comme le 2 Mai 1996, une Cour d’appel de Nancy a condamné l’État français à verser $ 2000 une indemnisation à une fille musulmane, Mme Salwa, qui fut banni de l’école pour porter un foulard de tête. Le même tribunal a également confirmé l’appel de six jeunes filles arabes de Colmar, qui ont été interdits d’assister à leurs cours pour le même délit (Dawn, 3 Mai 1996, Karachi). Étonnamment, l’arrêt de Nancy a coïncidé avec la décision du supérieur constitutionnel de l’Egypte Cour confirmant la décision du ministère de l’éducation visant à interdire le foulard dans les écoles locales (Les Nouvelles, 20 Mai 1996, Karachi).
Quelque temps en arrière, ministre de l’Intérieur Pasqua avait dit que le gouvernement français se battraient les militants islamiques dans les écoles et ne serait pas tolérer les tentatives d’entraver l’intégration des immigrés musulmans dans la vie française. Toutefois, à la lumière de la décision du tribunal de Nancy, le problème semble être résolu. Évidemment, le châtiment sévère initial, alimenté par les déclarations provocatrices, a provoqué une vive réaction en France et à l’étranger. Le Parlement musulman de Grande Bretagne, une ONG, a publié un livre blanc sur l’éducation, exigeant des écoles séparées pour les enfants des immigrants musulmans. Les musulmans français a également abordé la question et essayé de promouvoir l’idée d’un gouvernement financé par les écoles coraniques à un programme religieux. La demande a été qualifiée d’inacceptable par le gouvernement français. Le problème n’est pas résolu, cependant, comme due à l’augmentation progressive de la population nord-américaine en France et à l’ouverture de nouvelles mosquées et centres islamiques à travers le pays, une chaîne complexe de l’école islamique se développe sur une base non-gouvernementales. Les militants musulmans affirment que depuis que le gouvernement français a fourni des fonds pour les écoles privées Mission catholique, leur demande d’aide financière de l’Etat pour les écoles islamiques est justifiée. Selon les statistiques disponibles, environ 15% des enfants français fréquentent des écoles privées, dont la plupart sont contrôlées par l’Église catholique romaine (Europa Year Book, 1987, p. 1045).
La population musulmane française est confrontée à une forte opposition à l’observation de certaines de leurs traditions et rituels religieux. Cimetières musulmans sont sous pression pour ouvrir leurs portes aux morts d’autres groupes religieux. Dans certains incidents, les cimetières musulmans ont été profanées (Dawn, 24 Novembre 1991, Karachi). La pratique musulmane du sacrifice qui implique les animaux a essuyé des tirs. Par exemple, Brigitte Bardot a émis une déclaration forte en 1993, en disant: “Je suis révolté et indigné par cette coutume barbare de l’âge des ténèbres” (Les Nouvelles, 1 Juillet 1993, Karachi). Maintenant elle est devenue une tradition annuelle pour Mme Bardot de critiquer la tradition d’Abraham, à la veille de l’Aïd al-Adha, la fête du Sacrifice, chaque année. Cette année, elle a menacé de quitter le pays parce que la France a trop d’immigrants musulmans (Les Nouvelles, 27 avril 1996, Karachi).
En plus de ces questions socio-religieuses, les immigrés musulmans en France sont confrontés à des difficultés financières, le chômage et les disparités économiques. La majorité de ces immigrants sont des travailleurs non qualifiés qui sont engagés dans les plus bas salaires des emplois subalternes. D’une certaine manière, ils sont directement responsables de leur propre sort et dilemme. Un nombre croissant d’immigrés nord-africains sont prêts à travailler pour des salaires plus faibles en comparaison avec les travailleurs locaux en français. Par conséquent, les émeutes du travail sont devenus endémiques dans les villes industrielles, en particulier dans les villes portuaires de la Méditerranée. Selon des nouvelles Reuter publiée dans la presse internationale le 19 Juillet, 1994, les jeunes ont mis le feu à 17 voitures à Nice pour venger la mort d’un collègue arabe, tués dans les violences ethniques. C’était le deuxième foyer d’affrontements ethniques dans un week-end, à la suite d’une fusillade dans la ville nord-ouest du Dreaux, dans laquelle un homme a été tué et huit autres ont été blessés. Le racisme et la violence ethnique est à la hausse menaçant la stabilité et l’intégrité de la société française. Il s’agit d’un sujet de grande préoccupation que près de 50% des immigrés sont au chômage. Vivre dans une société riche, ils sont devenus plus déprimés et déçus par leur niveau de vie, et sont devenus vulnérables aux tendances antisociales et des complexes psychologiques qui pourrait finalement aboutir à des conséquences importantes.
Dans la foulée de ces conflits, l’afflux de réfugiés d’Afrique du Nord et des immigrés clandestins a contribué à aggraver la situation. En Juillet 1986, le gouvernement Chirac a adopté une résolution de la proposition de la coalition de droite visant à formuler des lois plus sévères en matière d’immigration (Europa Year Book, 1987, p. 1041). Il a autorisé l’administration locale pour expulser les immigrés illégaux, il se réservait le droit d’accorder automatiquement la citoyenneté aux enfants de parents étrangers, et il a donné plus de pouvoir à la police des frontières à refuser l’entrée. En 1986, 1700 immigrants clandestins ont été expulsés du pays. Toutefois, ces mesures strictes ne pouvait pas contenir efficacement le problème. Après la guerre du Golfe, les possibilités d’emploi au Moyen-Orient et Afrique du Nord a diminué considérablement. La Commission chargée des relations Nord-Sud, M. Abel Matutes, a proposé que les pays membres accordent davantage d’aide économique et d’encourager les investissements privés dans le sud de la Méditerranée, afin que les jeunes Tunisiens et les Algériens pouvaient rester chez eux. Il avait averti que si la CE ne contribue pas à relancer les économies des pays d’Afrique du Nord », il pourrait se trouver en jouant réticents à accueillir des milliers de chômeurs des Nord-Africains”. Il a fait observer que si des mesures appropriées ne sont pas prises, alors ces gens vont être conduits sous l’emprise des mouvements politiques extrêmes. La dépression et l’effarement que ces immigrants partagent presque toutes les villes portuaires peut être évaluée en examinant les articles de nouvelles nombreux dans la presse quotidienne devant l’augmentation constante de la criminalité (Sage, 1995). Un correspondant de National Geographic a été malmené et pratiquement abusé dans un bidonville de Milan par des réfugiés d’Afrique du Nord qui l’a emmené à être un agent d’immigration (McCarry, 1992).
En plus de ces facteurs socio-économiques, la politique étrangère de la France, en particulier sa relation avec les Etats de l’Afrique du Nord, accentue la tension. Le Front islamique du salut de l’Algérie (FIS) est accusant la France de soutenir le régime militaire dirigée à Alger. Le Groupe islamique armé (GIA) a mené un certain nombre d’attaques contre des ressortissants français et de ses installations en Algérie. La gravité du problème ne peut être évaluée en prenant simplement en compte les statistiques publiées dans la presse internationale. Selon TIME (6 Mars 1995, p. 21), les activités de guérilla en Algérie ont coûté environ 30.000 morts, 600 écoles ont été brûlées et plus de 80% des ressortissants étrangers (environ 75.000) ont quitté l’Algérie en 1994-95 . Lors du dernier incident de violence, de sept moines français ont été enlevés et tués par le GIA, le 24 Mai 1996, selon un bulletin de CNN. Malheureusement, la vague de terrorisme a frappé Paris. Les explosions à la bombe du 25 Juillet et Octobre 1995 à Paris, a eu un lourd tribut en vies humaines et des biens (TIME, 28 août 1995, p. 29 et 30 Octobre 1995, p. 32). L’impact psychologique de ces activités a été très importants. Le gouvernement français a réagi en interdisant cinq périodiques islamiques et le retrait de l’assistance financière à la Mosquée de Paris (The Nation, 19 Février 1996, Lahore). Ces étapes ont été suivies par des opérations contre des militants suspects musulmans. Dalil Boubakeur, imam de la mosquée de Paris a exprimé sa préoccupation face aux développements récents. Dans un entretien avec Le Monde, il a déclaré: “Ce que nous craignons c’est que la France vient de voir tout musulman comme un terroriste potentiel.” Suite à la menace des militants musulmans à mener davantage d’attaques contre des intérêts français, Dalil, dans une interview à LCI, les a exhortés à retirer leur menace: «Je sens les attaques algériennes pourraient déclencher de réaction et de contre-réaction, ce qui déclenche, par exemple, une sorte «chasse aux sorcières. Je fais appel à la raison, la vigilance et le bon sens.”
Un pays qui a toujours défendu les valeurs de liberté et de dignité humaine, un véritable champion de la paix et la compréhension, est désormais confrontée à la violence ethnique et l’intolérance religieuse. Historiquement, la France a offert un refuge et protection aux dirigeants radicaux qui ont organisé des révolutions à l’Est et l’Ouest. Jamal al-Din Afghani, le chef de file des pionniers de la Pan-Mouvement islamique, a vécu à Paris pendant le XIXe siècle et publiée à partir de là son journal islamique célèbre, Al-Urwath a-Wusqa. Lénine séjourné à Paris de 1908 à 1911, et a fondé une école pour les révolutionnaires, près de Paris. Plus tôt, le père du communisme, Karl Marx, jouissait de l’hospitalité française libérale, de l’édition à la renommée de Paris manuscrit, où il avait épousé le communisme. Ho Chi Minh a profité pleinement de la liberté d’expression française et des libertés civiles, comme il résidait à Paris et a présenté le cas dans les négociations de Versailles de 1919. Imam Khomeiny a mené la révolution iranienne de 1979 de Paris. Le leader du mouvement sioniste, Thedor Herzl, a travaillé à Paris comme correspondant de la Nouvelle-Free Press en 1991. La ville de Nice a accueilli la famille de Zulfikar Ali Bhutto, l’ex-Premier ministre du Pakistan pendu en 1979. Historiquement, la France a été tout à fait impartial dans l’extension de son hospitalité à tous les groupes radicaux et de personnalités. La complexité et les contre-courants de la vague actuelle d’hostilités ethniques, religieuses et culturelles, non seulement dans la Méditerranée, mais dans de nombreuses régions, font que l’impartialité plus difficile à appliquer aujourd’hui.
Néanmoins, les musulmans qui ont acquis la nationalité française sont désormais de bonne foi des sujets français et ont droit à l’égalité des droits et privilèges. Au lieu de cela, les Harakis, ces Algériens qui ont soutenu et combattu pour la France contre leurs compatriotes pendant la guerre d’indépendance algérienne, sont actuellement ciblés en tant que militants musulmans. Ces Harakis, après la chute du pouvoir colonial français en Algérie, ont fui vers la France où ils ont reçu la citoyenneté. Aujourd’hui, leur nombre a augmenté à environ 450.000, dont la majorité sont nés et élevés en France. Mais ils sont maintenant sous la pression des mouvements radicaux français nationaliste de retourner en Algérie. Aujourd’hui Harakis sont déçus et désillusionnés par la situation désespérée ils sont confrontés. Près de 80% de ces personnes sont au chômage, ce qui les a rendus très vulnérables à la criminalité et des activités subversives (Star, 14 Septembre 1991, Karachi).
Malheureusement, malgré une telle relation étroite historique, la communauté musulmane en France, a aussi été victime de la peur de l’intégrisme islamique qui hante l’Occident. Malheureusement, islamique “activistes” et des “terroristes” sont considérés aujourd’hui comme les mêmes. Les actes d’un petit groupe ne devrait pas réfléchir sur le caractère d’une nation. Il ya eu un nombre considérable d’opérations terroristes menées par plusieurs organisations souterrains en Italie, Espagne, Allemagne, le Japon et les États-Unis. De nombreuses villes européennes et latino-américains ont assisté à des incidents extrêmement brutal de violence commis par leur propre peuple, mais ils n’ont pas été déclarées des Etats terroristes ou des nations. L’ironie de la situation semble être plus frappant quand on voit Président de l’OLP, Yasser Arafat, se serrant la main aux Etats-Unis avec le premier ministre israélien comme un dirigeant légitime du peuple palestinien et un combattant de la liberté respectés, tandis que dans le passé récent lui a été refusée l’entrée aux États-Unis pour des raisons d’être un terroriste et soutenir le terrorisme partout dans le monde. Il ya un besoin pressant pour des analyses plus réfléchie de la nature et les stratégies des groupes d’action sociale à de nombreux travaux sur la scène mondiale aujourd’hui. Certes, “musulman” ne doit pas être assimilé au terrorisme.
Les derniers développements en France doivent être analysés dans une perspective historique globale. D’ailleurs cette attitude générale de l’Occident envers l’Islam, les changements rapides dans les statistiques démographiques de la région méditerranéenne est à l’origine également d’alarme en France et dans d’autres pays de la Méditerranée du Nord, comme l’Italie, la Grèce et l’Espagne. Selon le Plan Bleu de la Méditerranée de l’ONU, publié à Athènes en 1987, en 1950 les deux tiers de la population méditerranéenne étaient européens, appartenant aux pays qui s’étend depuis le détroit de Gibraltar au Bosphore. Mais il est prévu que d’ici l’an 2025, la population sera exactement inversée. Dix ans à partir de maintenant, la Méditerranée sera un Etat islamique, s’il n’est pas un Arabe, mer. La hausse rapide de la population musulmane a suscité l’alarme parmi les pays européens de la région, une préoccupation que les membres de la CE ont exprimé à maintes reprises dans leurs réunions. Robert Fox, dans un article paru dans le Daily Telegraph (Londres), «Le temps de l’homme à la bombe dans la Méditerranée, est allé jusqu’à faire une prévision de l’affrontement armé dans la région en moins de 20 ans en raison du changement dans l’équilibre démographique (Aziz, 1988).
Pour désamorcer la tension et de commencer le processus de renforcement de la confiance du auhtor propose les mesures suivantes:
Représentants du gouvernement français devrait s’appliquer de retenue dans la délivrance des déclarations provocatrices et de s’abstenir de nivellement des charges en général contre la communauté musulmane. Seuls les coupables devraient être condamnés qui sont impliqués dans des activités subversives et terroristes. L’ensemble de la communauté musulmane en France, plus de trois millions de personnes, ne peut être tenu responsable des actes de terrorisme commis par un petit groupe de personnes. En 1994, les ministres comme Pasqua et Alden Juppé menaient une guerre des mots contre leurs propres citoyens musulmans. Cependant, après les dernières élections de la controverse semble avoir refroidi et la situation s’est nettement améliorée.Un code de conduite pour la presse, au moins en France, devrait être mis en œuvre, pour que les médias traditionnels et électroniques pourrait jouer un rôle positif et contribuer à rapprocher les deux communautés, les musulmans d’Afrique du Nord (qui comprend les ressortissants français) et l’indigène Les ressortissants français, ensemble. La presse internationale publie des nouvelles et des histoires qui présentent un tableau très sombre de la immigrés nord-africains. Lorsque le prestigieux hebdomadaire, TIME, a publié un rapport de Roubaix, en France, qu’une jeune fille de 19 ans est mort dans les mains d’exorcistes islamique, l’incident a été qualifié comme un “coup grave à l’islam et la communauté musulmane en France et un revers au processus d’intégration des musulmans dans la société française. ” Ces incidents, malheureusement, se produisent dans presque toutes les régions du monde. Lorsque L’actrice américaine Sharon Tate et ses amis ont été brutalement assassiné par un culte satanique aux États-Unis, personne encadrée sur le compte en ces termes. Combien est délicate et fragile, est le processus d’intégration sociale qu’il mai être reprise soit par quelques filles portant un foulard sur la tête ou par le crime d’un exorciste?Des mesures appropriées devraient être prises pour améliorer le niveau de vie de la population musulmane frappée par la pauvreté. Plus d’occasions d’emploi devraient être créés et la formation technique devrait être fournie aux travailleurs immigrés non qualifiés, afin qu’ils mai également être admissibles à des emplois mieux rémunérés.Des réunions régulières sont organisées entre les dirigeants de l’Afrique du Nord et la communauté musulmane française et le reste de la population française locale. Les sociétés culturelles peuvent jouer un rôle très important. ONG mai être encouragés à travailler dans cette direction. L’expérience du dialogue islamo-chrétien ou de l’Euro-Talks arabes peuvent se révéler utiles. Lors de ces réunions organisées dans les localités de groupes ethniques mixtes, des thèmes et des sujets concernant l’histoire, la culture et la littérature de la France et le Maghreb mai être discutées à travers des conférences, des tables rondes, expositions et film.4Plus de temps devrait être accordé pour les programmes sur le Maghreb sur le réseau français de télévision. Dans de nombreux pays en Occident, programmes télévisés sont diffusés régulièrement pour des populations minoritaires. BBC, VOA et la télévision canadiennes font un travail merveilleux dans l’intégration des populations immigrées dans leurs tissus sociaux respectifs à travers ces transmissions. Compte tenu de la hausse du ratio de la population immigrée en France, une chaîne de télévision distinct pourrait être lancé. Le problème peut être résolu que par le renforcement des relations humaines qui seront en définitive supporter et l’emportent sur les divergences politiques.Les programmes scolaires devraient être révisés et les enseignements de l’Islam, et l’histoire, de langues et littérature du Maghreb devraient être incluses dans les manuels scolaires. Cela aidera les jeunes générations à connaître et à mieux comprendre ses voisins vivent juste de l’autre côté de la Méditerranée. Révision du programme scolaire ne signifie pas que les recommandations des militants islamiques sont nécessairement intégrées. Comme cette question a été soulevée par les musulmans français, il mérite une réponse réfléchie.Ce n’est pas la seule responsabilité du gouvernement français afin de désamorcer la tension et normaliser la situation. La communauté musulmane devrait coopérer et prendre des mesures qui pourraient améliorer les conditions actuelles. Soumettre des différends politiques d’accueil de la région méditerranéenne n’est pas du tout dans l’intérêt des citoyens de confession musulmane, surtout pour ceux qui viennent de l’Afrique du Nord. La communauté musulmane en France doit honorer et de respecter la Constitution et les lois du pays qui en aucun cas interférer dans leurs affaires religieuses. Ils ne devraient pas être déçus par les déclarations irresponsables de quelques hauts responsables ou des personnalités publiques. Si elles estiment que leurs libertés civiles et des droits de l’homme ont été violés, ils doivent s’adresser aux tribunaux locaux pour la justice. La récente décision du Tribunal d’appel de Nancy en faveur du foulard a prouvé la viabilité du système juridique français. Un plan d’action approprié devrait être adopté au lieu de recourir à une collision frontale avec les autorités de l’Etat.La situation s’améliore de façon constante depuis que le nouveau gouvernement a repris, après les récentes élections françaises. La démarche française d’inscrire la question algérienne à l’agenda de la conférence du G7 a eu des conséquences intéressantes. En transformant la situation en Algérie en une question internationale, la France mai donner l’exemple à ses sujets musulmans à l’approche des instituts internationaux et organismes compétents pour redresser les griefs. La Cour européenne des droits de l’homme a un rôle important à jouer dans la fixation des normes non seulement pour la France mais pour tous les pays européens.